Veille : rétablir quelques vérités méconnues
Chaque nouveau service sur le web social ne vient pas chasser l’autre.
Cela fait quelque temps — trop longtemps — que j’avais envie de signaler cette dénonciation d’une fausse veille par linkfluence. Il s’agit ici de veille e-réputation, mais une partie de ces rectifications peut valoir aussi pour la veille juridique :
Les 10 arnaques de la veille en e-réputation [1]
Mon extrait préféré (le gras est de nous) :
« Chaque nouveau service sur le web social ne vient pas chasser l’autre. Le mail se porte très bien ; les forums restent le premier lieu d’interaction, d’échange et de discussions [2], les blogs se spécialisent et restent un format de publication idéal pour écrire des articles ou tenir un journal personnel ; Twitter est un média pour trier l’information, attirer l’attention ; Facebook est une caisse de résonance, un tambour qui produit peu de contenus originaux. »
En veille juridique, on ajoutera aussi à ces sources les sites web (officiels et éditeurs) et les newsletters, certaines gratuites d’autres payantes [3].
Et la présentation de linkfluence d’insister aussi sur ce quasi-axiome : la technologie n’est pas tout et ne fait pas tout. Loin de là [4].
Je ne souscris pas seulement, je plussoie :-)
Merci à linkfluence de rétablir quelques vérités méconnues.
Notes
[2] A compléter par ce billet sur les techniques de manipulation des forums, dont la source est ici.
[3] Voir notre article Des newsletters juridiques fiables. Ou : la veille par les éditeurs.
[4] Linkfluence dénonce là le syndrome "coller un stagiaire 6 mois sur un outil gratuit ou pas cher mal maîtrisé".
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